Avec la fermeture des écoles pour un mois, les parents et les enfants se retrouveront théoriquement à la maison jusqu’au 11 mai… Et ce n’est pas si simple !
Pas étonnant que les parents soient ennuyés : alors qu’ils ont du télétravail ou qu’ils ont besoin d’aller travailler, doivent-ils aussi surveiller les études et enseigner à la maison ? Plus que cela n’a manqué…
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Cette transition brutale vers des cours en ligne n’est pas toujours bien préparée et montre également les limites de l’éducation numérique, qui n’est pas la solution miracle.
Après quelques semaines de panique, d’erreurs techniques et de tentatives, nous vous offrons un petit guide, afin de ne pas abandonner. Autrement dit, quelques conseils pour garder sa fraîcheur et pas toute la famille pendant une demi-heure après le début des cours énigmes…
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Plan de l'article
1 — Où pouvez-vous trouver les cours ?
Les enseignants sont certainement disponibles via l’ « environnement de travail numérique » mis en place par l’école ou simplement par courriel, mais ce ne sont pas les seules ressources disponibles !
Par exemple, voici d’autres options proposées par l’Éducation nationale :
— Ma classe à la maison (classes virtuelles) : eh bien, vous devez être en mesure de rejoindre le site…
— Lumni.fr France Site TV avec beaucoup de ressources gratuites pour tous les âges
Mais, bien sûr, toutes ces ressources nécessitent un bon équipement et une bonne connexion Internet. Il suffit de dire que les familles les moins riches et les étudiants vivant dans des « zones blanches » (où la connexion Internet est très pauvre ou absente) sont déjà en difficulté. Et il faut dire que les plates-formes, en particulier l’ORL, laissent beaucoup à désirer : avec des sites qui plantent, compte tenu de l’afflux de connexions, il faut des heures pour télécharger un devoir malheureux… si c’est votre cas, sachezVous que vous n’êtes pas seul !
2 — Du parent au super enseignant : comment c’est ?
Non, vous ne pouvez pas improviser votre professeur du jour au lendemain : personne n’a le droit d’attendre tant de parents. Il est également important d’oublier l’image du parent idéal qui surveille et dirige l’apprentissage de leurs enfants. On n’est pas à l’école, et les parents ne peuvent pas avoir de réponse à tout.
Alors, comment on fait ?
Tout d’abord, il est préférable d’imaginer être un bibliothécaire plutôt qu’un professeur : nous lui fournissons le matériel et nous sommes là pour répondre aux questions si nous le pouvons, pour réfléchir ensemble à des solutions.
Et si vous n’avez que des souvenirs très vagues de la place de l’hypoténuse et que vous ne vous sentez pas du tout à propos de l’enseignement, c’est normal ! Accompagner les KLangas un enfant ne signifie pas imparable tout au long du programme scolaire de la maternelle à l’école secondaire.être.
Nous pouvons aussi demander à notre enfant de nous expliquer : la meilleure façon d’apprendre quelque chose est de l’enseigner. Pour demander à un étudiant de nous guider et d’expliquer son exercice mathématique, il doit être très clair ce qu’il sait, ce qu’il a compris et ce qui n’est pas encore clair. En d’autres termes, nous sommes les étudiants, et nos enfants sont les enseignants !
Et surtout, armez-vous de patience… La transition de l’école à la maison, personne n’a vraiment eu le temps de le préparer, et tout le monde, même l’éducation nationale, improvisé et fait le meilleur, avec trois extrémités de cordes.
Donc, vous devez être patient avec votre enfant, qui, maintenant que ses jours ne sont plus réglementés par l’école, découvre un rythme différent. Lui aussi peut être mis en évidence par ce bouleversement. Mais il est également nécessaire d’être patient avec vous-même : rien ne nous a préparé à devenir un enseignant et les erreurs font nécessairement partie du jeu dans les premiers joursêtre !
La chose la plus importante est de se rappeler qu’il est important de montrer à nos enfants que nous les soutenons et que nous tenons nos coudes. Si l’endiguement nous rapproche et nous permet de passer plus de temps ensemble, cela aura inévitablement un impact positif sur leurs études à long terme… même s’il y a un petit retard dans le programme sacré (ou le sacré) !
Conseils et astuces pour survivre aux cours à la maison
— Oubliez les heures rigides du collège : vous n’avez pas besoin de commencer les cours à 8 heures et de terminer à 17 heures. En l’absence du cadre rigide des journées scolaires, il est nécessaire de donner le temps d’observer un rythme inhérent à tout le monde.
— Solutions de test : Qu’est-ce qui fonctionne le mieux ? On se lève, quelle heure ? Quand va-t-on se coucher ? Quand les enfants sont-ils les plus concentrés ? Quel rythme est le plus productif ?
— Expérience etAttention : Il faut quelques jours pour trouver vos pistes. Ils essaient d’écouter votre enfant : vous devez les encourager à prendre des responsabilités en discutant avec eux de ses objectifs et de la façon dont ils veulent les atteindre.
— Encouragez votre enfant à parler de leurs soucis et de confiance : il est un moment stressant pour les enfants, sujet d’une part à la pression persistante du système éducatif (vous devez travailler ! Attention aux examens ! ), une autre aux difficultés des cours en ligne (surtout si l’ORL se bloque…).
— Liste les objectifs de la journée : l’idée est d’éviter que les jours passent et tous se ressemblent. Cela aide à accélérer les jours et de renforcer la confiance en soi de nos enfants, qui peuvent lire cette liste à la fin de la journée. Et dire : « Eh bien, je suis assez efficace de toute façon ! ».
Les élèves peuvent se fixer des objectifs spécifiques pour apprendre à passer leur temps peut mieux gérer. Par exemple : « Il est 10 h 30. Pendant les 45 prochaines minutes, je vais : — Vérifiez la leçon (15 minutes) — faire les 3 exercices de l’enseignant (10 minutes chacun) Ensuite, je fais une courte pause (manger un peu, boire un verre d’eau), puis je passe 30 minutes à comparer mes exercices avec ceux corrigés. »
L’ idée n’est pas de faire « contre l’horloge », mais d’aider l’enfant à découvrir son propre mode de fonctionnement. Est-ce que cet horaire a vraiment fonctionné pour lui ? C’est réaliste ? Trop ambitieux ? Devrait-il être adapté à sa personnalité ? Si nous avions des problèmes pour gérer notre temps, comment pouvons-nous le résoudre ?
Lorsque nous sommes dans une perspective expérimentale de découverte, nous obtenons une approche beaucoup plus positive qui renforce l’autonomie de notre enfant. Il n’y a pas d’échec, il n’y a que des enseignements.
En résumé : Quoi qu’il en soit, c’est un gâchis !
Donc, vous devez être patient avec vous-même, votre enfant et les enseignants ; et accepter la période de « désintoxication » du rythme scolaire. Il est impossible de reproduire la journée d’école telle qu’elle est quand vous êtes à la maison : l’enfant doit apprendre à trouver son propre rythme. L’idée est de se concentrer moins sur la quantité de contenu scolaire qui doit être « absorbé » que sur le soutien de votre enfant pour mieux se connaître : c’est une occasion pour lui d’être autonome et de trouver les stratégies qui lui permettront d’être efficace. C’est une grande expérience de connaissance de soi, l’enfant peut sortir de lui plus calme et plus mature. A condition, encore une fois, d’aller attendre que nous soyons dans des cas exceptionnels, et que nous faisons de notre mieux… mais « à l’impossible personne ne sera tenu » !